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La retraite.... beaucoup de travailleurs en rêvent, et cet objectif devient de plus en plus concret au fur et à  mesure que l'échéance attendue approche. Cependant, de nombreuses personnes devront se contenter de la pension légale. Celle-ci est calculée sur base de votre statut (salarié, fonctionnaire, indépendant), votre salaire, votre ménage.

Quel sera le montant de votre pension  légale au moment de votre départ à la retraite ?

Pour le savoir, il suffit de vous rendre sur le site www.mypension.be et de vous connecter, soit avec votre carte d'identité et votre lecteur EID, soit via l'application Itsme. C'est la même procédure que pour connaître vos données fiscales ou remplir votre déclaration d'impôts en ligne.

Bien souvent, elle ne permettra sans doute pas de maintenir le train de vie que vous aurez mené pendant vos années de carrière.

Au surplus, avec l'inflation, l'argent perd de la valeur. Et puis, il y a toujours un doute sur la fragilité du système des pensions, qui est financé par le biais des impôts et cotisations sociales des travailleurs actifs.

Et si une grave crise économique devait survenir ?

Mieux vaut anticiper, dès lors, et prévoir un plan B, un plan C en guise de pension complémentaire, par exemple sous la forme d'un revenu supplémentaire, ou sous la forme d'un capital à percevoir à l'âge légal de la retraite, ou même un peu avant.

Et pour y parvenir, il existe 3 solutions : soit souscrire à plan de pension complémentaire ou d'épargne-pension, soit investir dans la brique, ce qui passe par un crédit hypothécaire.

Soit épargner jusqu'à sa pension pour se constituer une épargne.

La pension complémentaire

Tous les travailleurs ont la possibilité, selon leur statut professionnel et leurs capacités financières, de constituer une pension complémentaire qui améliorera l'ordinaire au moment de prendre votre pension. Seule exception : les fonctionnaires statutaires n'y ont pas droit car ils touchent une pension légale plus élevée.

Pour les salariés

Cette pension complémentaire passe généralement par une assurance groupe ou un Fonds de pension. Il s'agit de cotisations financées par leur employeur (et/ou secteur d'activité), éventuellement complétées par le salarié, avec un avantage fiscal. Celui-ci touchera un capital pour le jour du départ à la retraite.

Les salariés qui ne bénéficient pas d'une telle intervention par leur employeur peuvent néanmoins cotiser pour une Pension libre complémentaire pour salariés (ou PLCS).

Pour les travailleurs indépendants

Les travailleurs indépendants, eux, ont la possibilité de souscrire à la Pension libre complémentaire pour les indépendants (PLCI), qu'elle soit « classique » ou « sociale ». Cette dernière permet de financer également une protection sociale supplémentaire (indemnité pour incapacité de travail, invalidité, décès). Dans les deux cas, il s'agit de payer une cotisation, qui doit être au moins équivalente à ses cotisations sociales, mais avec un plafond.

Pour la PLCI « classique » pour l'année 2021, jusqu'à 8,17% de revenus nets imposables ou bien jusqu'à maximum 3.302,77€

Pour la PLCI « sociale », pour l'année 2021, jusqu'à 9,40% de revenus nets imposables ou bien jusqu'à maximum 3.800,01€.

Cette PLCI peut être intégralement déduite comme frais professionnels.

La PLCI peut aussi être complétée par un Engagement individuel de Pension (EIP, pour les indépendants en société), une sorte d'assurance de groupe pour les chefs d'entreprise. Ou encore par une Convention de Pension pour travailleurs indépendants (CPTI, pour les indépendants en personne physique).

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L'épargne-pension et l'épargne à long terme

Cet autre pilier qu'est l'épargne-pension, qui permet d'agrémenter la pension légale d'un capital au moment du départ à la retraite, n'est pas réservé aux travailleurs, mais à toutes les personnes de 18 ans et plus. Chaque année, en échange d'un avantage fiscal, ils peuvent réaliser des versements dans une assurance épargne-pension ou dans un fonds d'épargne pension.

> Dans le cas de l'assurance épargne-pension (qui propose un rendement garanti), on peut verser chaque année un certain montant maximum. En 2021, c'est soit 990 €, avec une réduction d'impôt de 30% (avantage fiscal : 297€), soit 1.270 €, avec une réduction d'impôts de 25% (avantage fiscal : 317,50 €).

> Dans le cas de l'épargne à long terme (dont le rendement est lié aux placements effectués par le fonds), le montant que vous pouvez épargner dépend avant tout de vos revenus professionnels nets imposables. Le montant déductible de cette épargne, en 2021, ne pourra cependant pas dépasser les 2.350 € Il donne droit à une réduction d'impôts de 30% (avantage fiscal : 705 €).

Investir dans l’immobilier

Investir dans un projet immobilier est, à juste titre, souvent considéré comme un investissement sûr.

S'il s'agit de votre propre logement, il vous permettra, une fois le prêt hypothécaire remboursé, d'être pleinement propriétaire de votre logement, de préférence avant d'atteindre l'âge de la pension. Ce qui vous épargnera de devoir payer un loyer tout au long de votre vie et de consacrer ces mensualités à bien vivre votre retraite.

Investir dans un deuxième bien immobilier

Mais il est également possible d'investir, selon vos capacités financières pendant votre vie active, dans un deuxième, voire un troisième, quatrième bien immobilier. Ici aussi, il faudra presque certainement passer par un crédit hypothécaire.

Attention toutefois quand vous ferez votre demande de crédit : il faudra apporter davantage de fonds propres que pour votre logement personnel : de quoi financer au moins 20% du prix d'achat, plus tous les « frais de notaire » (droits d’enregistrement ou TVA, frais d'acte d'achat, rais d'acte de crédit, etc). A défaut de disposer de tels fonds propres, il faudra mettre un autre bien immobilier en garantie (par exemple le logement familial).

Néanmoins, le calcul est intéressant : le prêt hypothécaire de ce bien immobilier supplémentaire pourra être remboursé grâce aux revenus locatifs. Ce qui évitera que la charge financière mensuelle du remboursement pèse vraiment sur le budget du propriétaire (en dehors des travaux de réparation ou d'entretien qui échoient aux propriétaires).

Louer ou revendre ?

Une fois le crédit hypothécaire de ce deuxième bien remboursé, le loyer perçu représentera un revenu supplémentaire bienvenu tout au long de la pension. Mais il sera également possible de revendre le bien à ce moment, ce qui permettra de se constituer un capital conséquent en une seule transaction, et dont le bénéficiaire aura librement l'usage.

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